mardi 11 février 2014

34 L'école de l'aut'Tarlé : Axel au pays des Soviets

Sur un « article » d’Axel de Tarlé, chef de l’école de l’aut’Tarlé







Dans son billet chronique du JDD (9 février 2014, page 25), Axel (qu’il ne faut pas confondre avec le « petit Alex » d’Orange mécanique : il est beaucoup plus dangereux !), est pris d’un accès de lyrisme libéral provoqué par l’usage abusif du sigle « URSS » :

« Nos gouvernants rêvent d’une économie administrée, avec aux commandes l’Etat qui fixe les tarifs, les investissements et les emplois. Cela s’appelle l’URSS ! On a vu ce que cela a donné. Confortablement protégée par son monopole, l’entreprise oublie le client et les investissements. C’est le match « Trabant » contre « Mercedes » ! Et c’est humain, pourquoi se décarcasser quand l’usager – on ne parle plus de « client »  – n’a pas le choix ? On se retrouve avec des files d’attente et un service dégradé. C’est d’ailleurs ce que l’on observe avec les taxis. »

C’est en effet de la question des taxis qu’Alex était parti pour son équipée sauvage dans le monde des concepts historico-économiques. Les « 15 minutes de délai » que le Conseil d’Etat a rejetées « au nom de la liberté d’entreprendre », venant ainsi « au secours du consommateur, n’étaient rien d’autre que les prémices du Goulag, dont Alex a injustement oublié de parler… François Hollande et Pierre Moscovici sont des thuriféraires cachés de Joseph Staline.

Cela dit, je suis d’accord avec lui sur un point : la pérennité de son contrat garantie par l’indifférence de son rédacteur en chef à son petit dépôt hebdomadaire, Alex n’a effectivement pas besoin de se décarcasser.
  






















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