Sur un « article » d’Axel de Tarlé, chef de
l’école de l’aut’Tarlé
Dans son billet chronique du JDD (9 février 2014, page 25),
Axel (qu’il ne faut pas confondre avec le « petit Alex » d’Orange
mécanique : il est beaucoup plus dangereux !), est pris d’un accès de
lyrisme libéral provoqué par l’usage abusif du sigle « URSS » :
« Nos gouvernants rêvent d’une économie administrée,
avec aux commandes l’Etat qui fixe les tarifs, les investissements et les
emplois. Cela s’appelle l’URSS ! On a vu ce que cela a donné.
Confortablement protégée par son monopole, l’entreprise oublie le client et les
investissements. C’est le match « Trabant » contre
« Mercedes » ! Et c’est humain, pourquoi se décarcasser quand
l’usager – on ne parle plus de « client » – n’a pas le choix ? On se retrouve avec
des files d’attente et un service dégradé. C’est d’ailleurs ce que l’on observe
avec les taxis. »
C’est en effet de la question des taxis qu’Alex était parti
pour son équipée sauvage dans le monde des concepts historico-économiques. Les
« 15 minutes de délai » que le Conseil d’Etat a rejetées « au
nom de la liberté d’entreprendre », venant ainsi « au secours du
consommateur, n’étaient rien d’autre que les prémices du Goulag, dont Alex a injustement
oublié de parler… François Hollande et Pierre Moscovici sont des thuriféraires cachés de
Joseph Staline.
Cela dit, je suis d’accord avec lui sur un point : la
pérennité de son contrat garantie par l’indifférence de son rédacteur en chef à
son petit dépôt hebdomadaire, Alex n’a effectivement pas besoin de se
décarcasser.
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